de fruits et de légumes chaque jour
L’Hygiénisme est la science de la santé. L’Hygiénisme ne date pas du temps de la sorcellerie et des superstitions : il date d’il y a à peine 150 ans.
Tout est régi par des lois naturelles. D'où l'importance de connaître les lois de la vie et celles qui régissent l'espèce humaine en particulier.
Dans la fabuleuse organisation de la vie interne cellulaire, il n'y a pas de place pour le hasard. En d'autres termes la théorie fataliste des microbes, virus, est une nouvelle démonologie insensée. Quant à la vaccination, elle est une nouvelle absolution illusoire.
Notre organisme, et lui seul, possède la prérogative de nous sortir du désordre (maladie) par son propre pouvoir d'auto guérison sous réserve que l'on supprime l'origine du déséquilibre.
Il existe un lien de continuité et d'évolution entre les différents états pathologiques: aigus, chroniques et de dégénérescence.
Contrairement à la médecine officielle qui traite les symptômes, l’Hygiénisme nous dit : supprimer la cause et l'effet disparaîtra.
L’hygiénisme est donc un enseignement tiré directement de la vie, par l'observation de ses Lois. C'est le plus précieux bagage culturel auquel un homme sain d'esprit puisse rêver, car il permet de vivre libre et autonome de l'enfance jusqu'au soir de la vie. En un mot, c'est un véritable art de vivre.
L'Hygiénisme enseigne les principes de base pour tous, mais chacun doit doser chaque facteur de santé selon son propre pouvoir d'assimilation pour devenir ainsi l'artisan de sa santé.
L'Hygiénisme exclut tout genre de remèdes, même naturels, contrairement à la Naturopathie.
La suppression de la cause suffit.
Ces facteurs sont l'alimentation spécifique à l'espèce humaine, l'absence de poisons chimiques, la suppression des médicaments, des vaccins, des émotions négatives, l'esprit positif, le repos, le sommeil, l'air pur, l'exercice, etc., en dosant chaque facteur selon le pouvoir d'utilisation de chaque cas particulier.
<<>> D’avoir jouer à l’omnivore nous a coûté et continue de nous coûter très cher en maladies et au niveau du portefeuille.
BON POUR LA SANTÉ : BON POUR LA MALADIE
Il y a beaucoup d'articles sur les causes de la maladie, mais très peu nous apprennent les causes de la santé. Or connaître les causes de la santé est aussi essentiel que de connaître celles de la maladie.
Le titre "les causes de la santé" implique une grande vérité que beaucoup de gens ne connaissent ou ne réalisent pas encore. Il laisse entendre qu'il y a de réelles causes à la santé et que nous pouvons l'obtenir à volonté si nous en remplissons les conditions. Peu de gens réalisent qu'avec de saines influences et sous des conditions favorables tout le monde serait spontanément en bonne santé. Il y a certaines conditions sous lesquelles l'organisme vivant reste en bonne santé s'il est sain, et sous lesquelles il regagne la santé s'il est malade. L'étude de ces conditions, influences et pratiques constitue l'étude de l'Hygiénisme. Connaître entièrement ces conditions et s'y soumettre donne la santé, tout comme assurer aux plantes les bonnes conditions pour pousser les fait grandir sainement, exemptes de maladies.
Comment pouvons nous recouvrer la santé Si nous sommes malades? Et rester sain Si nous sommes bien ? C'est une question dont beaucoup aimeraient avoir la réponse. Cependant, cela est si simple que quand ils l'apprennent, ils s'exclament "Oh, ce n'est rien (c'est zéro)". Ils attendent quelque chose de compliqué, de mystérieux. La réponse est simplement que nous pouvons redevenir en bonne santé ou le rester, premièrement en supprimant toutes les causes de maladie, et ensuite en subvenant aux conditions de santé.
L’Hygiénisme est une conception révolutionnaire de la santé, née aux États-unis au début du 19ème siècle, à l'initiative de médecins dissidents. Ses principes ont été affinés au 20ème siècle grâce au travail magistral du Dr Herbert Shelton (Dr en biologie et en philosophie) qui a fait de toutes les connaissances scientifiques éparses une magnifique synthèse des lois de la vie.
Cette conception est révolutionnaire au sens noble du terme parce qu'elle est aux antipodes des modes de pensée habituels, lesquels ont engendré la diversité extraordinaire des systèmes médicaux. L’Hygiénisme, au contraire, nous enseigne la vanité de la recherche ou de l'utilisation de remèdes ou toutes sortes de thérapies.
L'hygiénisme nous permet de comprendre que:
C’était les premiers Hygiénistes qui parlaient de prendre des bains de soleil, qui assuraient aux gens que de manger cru n’était pas impropre à la santé humaine….
Dans le domaine de l'eau, les théories hygiénistes ont non seulement contribué au développement des adductions d'eau, de l'évacuation des eaux usées et du traitement de l'eau potable, mais également encouragé l'hygiène corporelle.
C’est-à-dire que le pouvoir curatif n’appartient qu’au facteur vivant. Il ne se retrouve pas dans un flacon ni dans une croyance quelconque ! Et puis tous les médicaments sont des drogues et des substances nocives : les drogues ne créent pas de cellules mais en détruisent ! >>
LES BASES ERRONNÉES DE LA M É D E C I N E
La médecine est basée sur de fausses prémisses, au nombre de huit, que voici, selon l'analyse du docteur Russel T. Trall :
1) La médecine enseigne une fausse doctrine sur la nature de la maladie
2) La médecine enseigne une fausse doctrine sur l’action des remèdes
3) La médecine enseigne une fausse théorie sur le pouvoir de la guérison
4) La médecine enseigne une fausse doctrine sur la relation entre la maladie et le pouvoir guérisseur
5) La médecine enseigne une fausse théorie sur la relation des remèdes avec la maladie
6) La médecine enseigne une fausse théorie sur les relations entre les matières vivantes et les matières inanimées
7) La médecine enseigne une fausse doctrine sur les maladies en relation avec les causes et les effets
8) La médecine enseigne une fausse doctrine sur la nature et la source des remèdes
Les effets suivent les causes et, pour ceux qui ignorent les causes, les malheurs semblent tomber du ciel - LANZA DEL VASTO
TOXÉMIE
LOI DE TILDEN
La toxémie est la présence de n'importe quelle substance incompatible avec la santé, dans le sang, la lymphe, les fluides du corps, les organes, les tissus et les cellules.
La toxémie est une CONSTANTE endogène dans le sang, c'est à dire un produit naturel du corps.
Elle devient toxique quand son accumulation dépasse le niveau de tolérance.
On peut diviser la toxémie en plusieurs catégories :
1) La toxémie naturelle des déchets cellulaires - toxémie endogène.
2) La toxémie intestinale (auto-intoxication) provenant de la décomposition des aliments non digérés. C'est une toxémie exogène.
3) La toxémie organique. Exemple : le pus, les abcès non drainés. Il faut drainer et laver les blessures fréquemment.
4) La toxémie chimique (exogène) par les médicaments, les vaccins, les sérums, les produits chimiques, les colorants, les insecticides, etc.
5) Ces 4 dernières toxémies produisent à leur tour une toxémie cellulaire endogène. Sans cette toxémie cellulaire naturelle, il est douteux que les autres toxémies puissent à elles seules produire la maladie.
1. L'hérédité :
a) La maladie (biogonie) étant une élimination, aucune maladie ne peut être héréditaire.
b) Par contre, on peut hériter d'une prédisposition, d'une diathèse, des organes petits, d'une poitrine étroite ou large, etc.
c) En cas de toxémie, on fait la maladie pour laquelle nous sommes prédisposés et pas une autre. Ainsi, nos parents sont tuberculeux, nous ferons le cas échéant une tuberculose.
d) Sans toxémie élevée, nous ne ferons jamais aucune maladie, quelle que soit notre hérédité.
2. Les microbes ne causent pas la maladie. Ils aident à l'éliminer en transformant les déchets. Même chose pour les amibes.
3. Infection signifie toxémie provenant des aliments azotés : pus, fièvre, inflammation, cancer...
4. La contagion n'existe pas, car la toxémie ne peut pas être transmise d'une personne à une autre. Exception : certains parasites (gale, etc.)
5. Les épidémies sont provoquées par des conditions malsaines qui affectent tous les habitants d'une région : panique, peur durant les guerres, humidité excessive, froid ou chaleur excessifs, eau contaminée, les orgies de Noël, etc.
6. Les parasites : Exemple : la gale, les filaires, la bilharzia, le ver solitaire, etc. Ces parasites sont parfois mortels. Il faut les tuer à l'aide de pommades à base de soufre (ascabiol) ou de rayons ultra-violets, ou autrement. Les pépins de courge chassent le ver solitaire. J'ignore quel produit chimique peut tuer ou chasser les parasites de la bilharzia sans nuire au malade.
7. L'immunité n'existe pas. C'est un mythe. Les mêmes causes produiront toujours les mêmes effets, à moins d'affaiblir la résistance et de tuer l'individu.
ÉNONCÉ
La diminution de l'élimination et des secrétions produit la toxémie qui est la cause fondamentale de toutes les maladies (biogonies) et de tous les états pathologiques.
DÉVELOPPEMENT
Nos millions de cellules éliminent constamment des déchets toxiques dans le sang. L'arrêt de cette élimination signifie la mort instantanée. Mais une simple diminution de cette élimination élève le niveau des déchets qui deviennent trop toxiques et intolérables.
COMMENT HÂTER L’ÉLIMINATION
L'exercice, la marche, le travail, dévient les énergies vers les muscles et ralentissent donc l'élimination.
Il n'existe pas de méthode plus efficace pour hâter l'élimination que le repos au lit. Une plus grande activité augmente la production des déchets, alors qu'une activité réduite restreint la production des toxines. Une activité accrue dépense de l'énergie, tandis que le repos et le sommeil conservent cette énergie.
Plus un corps est stimulé, moins il devient capable d'assumer ses fonctions. Donnez-lui du repos suffisamment pour permettre la récupération, la réforme et la réparation, et sa vigueur et son efficacité fonctionnelles en seront augmentées.
Une plus grande quantité d'énergie est dépensée dans l'activité physique. Si le repos est substitué à l'activité, l'énergie habituellement dépensée dans cette activité physique devient disponible pour une utilisation autre, et, pour le moment du moins, à un travail plus important.
Certains s'imaginent que l'exercice hâte l'élimination. Ils se trompent énormé
La Nature ne coupe pas l'appétit, ne met pas le malade dans un état de prostration et n'arrête pas ses activités, tant mentales que sexuelles et sensorielles, pour rien. Celles-ci sont des mesures de conservation destinées à sauvegarder les énergies habituellement dépensées dans ces formes d'activités, afin qu'elles puissent être disponibles pour d'autres utilisations, comme par exemple, dans un travail plus important de rétablissement.
"L'activité consomme les substances du corps. Elle est dépensière de vie. Une activité accrue augmente la consommation de substance corporelle. Pendant le repos, les cellules, les tissus et les organes sont réparés, réformés, et renouvelés. Le repos est créateur de vie. Les organes qui se reposent sont plus capables de réparer leurs structures endommagées, que les organes en état de stimulation. Le repos et le sommeil sont les procédés de restauration les plus qualifiés". SHELTON
La stimulation réduit donc le pouvoir fonctionnel, par la dépense d'énergie supplémentaire et l'accroissement des déchets métaboliques.
Nous parlons ici, bien sûr, du repos dans le sens le plus large du terme, c'est à dire le repos physiologique qu'est le jeûne. Quand on ne jeûne pas, il est impossible de garder le lit le jour. Mais quand on jeûne, il s'installe dans le corps, au bout de quelques jours, une sorte de relaxation authentique qui oblige à garder le lit avec plaisir.
"Le véritable stockage des réserves d'énergie, la recharge des batteries corporelles, se produisent pendant le repos. La stimulation (irritation ou excitation) d'un corps épuisé, ne fait que précipiter l'épuisement des quelques réserves restantes, et amène l'effondrement final plus rapidement.
Plus le corps est stimulé, plus vite il atteint l'état d'épuisement total. Par ailleurs, plus le corps est faible, moins il est capable de résister aux stimulants et plus grande est la nécessité de ne "rien faire" d'une façon intelligente
Seuls ceux qui possèdent une expérience suffisamment approfondie avec, d'une part la pratique du stimulant (gaspillage des forces) et d'autre part, la pratique du repos (conservation des forces) - seuls ceux-là peuvent juger du mérite des deux pratiques et peuvent former un jugement réellement circonstancié.
Celui qui n'a pas complètement abandonné la pratique du stimulant, et qui, par manque de connaissance expérimentale de la question, proclame la supériorité de la pratique stimulante sur la pratique de conservation des forces, celui-là raisonne comme les philosophes en pantoufles. Il ne sait pas, il ne peut pas savoir ce dont il parle. Telle l'araignée qui tisse sa toile, il échafaude une théorie fantastique sur la toile de son imagination". SHELTON
L'élimination se passe au niveau des cellules et non à celui des émonctoires (peau, foie, rein, etc.) Ces derniers ne font que rejeter des substances déjà éliminées. Le foie transforme les matières éliminées par les cellules en matières plus simples et éliminables. Les reins les filtrent du sang et les rejette dans la vessie.
Donc, pour hâter l'élimination, il faut pousser les cellules, non les émonctoires à éliminer. Comment ?
A cet effet, il faut savoir comment fonctionne nos cellules. Les cellules ont besoin pour fonctionner avant tout d'énergie nerveuse. Quand celle-ci est abondante, elles éliminent beaucoup, sinon elles éliminent peu. Comment augmenter cette énergie nerveuse ? Aucune substance ne vous la donnera, aucune méthode, aucun stimulant.
On ne peut augmenter l'énergie nerveuse qu'en se reposant, en économisant sur les dépenses physiques, musculaires, digestives, sexuelles. Comment économiser ? Par le repos musculaire, stomacal, sexuel, etc.
On ne hâtera pas l'élimination en stimulant les émonctoires.
LES QUATRE DEGRÉS DE LA MALADIE
On distingue, en naturopathie, ces quatre degrés suivant les manifestations de l'élimination.
1er degré - Maladies d'alarmes - C'est l'appel à l'attention; le malade est fatigué, mais rien n'est précis.
2ème degré - Maladies réactionnelles aiguës - Elles éclatent avec violence et sont généralisées à tous les émonctoires. La Force Vitale, ici, est supérieure à la masse des surcharges. C'est la forme centrifuge par excellence.
3ème degré - Maladies réactionnelles chroniques - Elles se manifestent plus lentement, plus localement. La Force Vitale est égale aux surcharges. La forme centrifuge subsiste.
4ème degré - Maladies authentiques, sans élimination - Elles sont d'ailleurs centripètes, locales, lésionnelles et souvent irréversibles. Nous les appelons "maladies dégénératives". A ce niveau apparaissent les mutations cellulaires cancer et maladies infectieuses, aux germes dominants.
VISION DE L’HYGIÉNISME SUR LES INFECTIONS
LES INFECTIONS
On prétend que la suppression du sel favorise la réceptivité infectieuse. Ce qu'on observe, en effet, c'est que le corps étant moins intoxiqué, entreprend d'éliminer des toxines, dont il ne pouvait pas s'occuper auparavant. Est-ce un mal ? La maladie est une action remédiante, correcte et profitable.
Les termes de "réceptivité infectieuse", dénotent l'obscurantisme médical qui considère la maladie comme étant une attaque extérieure. La médecine ne comprend pas l'office éliminateur de la maladie. Autant l'expliquer à un âne.
Pour celui qui supprime les stimulants, les crises de désintoxication sont des crises bienfaisantes et utiles. La médecine ne le comprendra jamais et cherchera toujours à supprimer les symptômes dans lesquels elle ne verra que le mal.
Si après avoir supprimé tous les stimulants - sel, café, épices, vin... - et modifié votre alimentation, vous faites une forte fièvre, la médecine dira que vous avez développé une "réceptivité infectieuse" ! Voilà de quoi effrayer les pauvres gens qui se soumettront alors, sans broncher, aux antibiotiques.
Mais les crises de désintoxication sont toujours profitables, même quand elles prennent l'allure d'une maladie bien cataloguée, par la médecine. Ne vous laissez pas tromper. La médecine n'est pas une science. Toutes ses notions sont fausses. N'oublions pas que le docteur Carton était médecin, c'est à dire qu'il était handicapé par sa formation médicale.
Le terme de "réceptivité" fait ressortir clairement la notion médicale erronée, selon quoi la maladie vient du dehors, par une attaque microbienne. Or notre conception hygiéniste est justement l'opposée de cela. Les microbes ne sont pas la cause, même en terrain propice. C'est la toxémie interne qui est la cause, c'est-à-dire le terrain. "Le microbe n'est rien. le terrain est tout".
RÉTABLISSEMENT
Le rétablissement est possible aux quatre conditions suivantes :
1) Suppression du motif.
2) Apport des éléments et des conditions nécessaires à la santé.
3) Récupération des forces vitales.
4) Donner le temps nécessaire aux processus réparateurs.
L’AUTOGUÉRISON
Les naturopathes et hygiénistes seuls, parlent de l'autoguérison. Les maladies d'autodéfense, du type réactionnel, sont des effets de l'organisme pour se désintoxiquer, c'est à dire rejeter loin de lui les poisons qui gênent la vie des cellules.
Toutes intervention maladroite ne peut que freiner ce travail salutaire. Les petites maladies, ainsi guéries, préparent de grandes récidives et les grandes maladies irréversibles.
Respectons les symptômes de l'élimination, ce sont nos alliés dans la lutte contre le mal.
Il n'y a pas de maladies en soi dans le concept naturopathique. Ce que nous appelons en général "maladies" sont des crises curatives sur le mode émonctoriel ou éliminatoire, voulues par la Nature et orchestrées par la force vitale.
Les seules maladies authentiques, dignes de ce nom, sont les maladies dégénératives, à forme centripète (sans élimination).
LES ENFANTS
CE QU’IL FAUT ENSEIGNER AUX ENFANTS
Il ne faut pas leur enseigner le mensonge populaire selon lequel certaines drogues sont des poisons alors que d'autres sont des médicaments;
- ou qu'une drogue peut être un poison ou un médicament, selon la dose;
- ou encore que ces drogues prises sans l'avis d'un médecin deviennent un poison, alors que sur prescription médicale elles deviennent un médicament;
- ou enfin qu'elle est un poison quand on les prend dans la bonne santé, et un médicament quand on les prend dans la maladie.
On n'enseigne pas toute la vérité, car cela détruirait l'une des plus vastes et des plus vieilles industries du monde, et aussi parce que cela mettrait au chômage la profession médicale.
En effet, un médecin privé de ses médicaments est comme un poisson hors de l'eau…
On lui a enseigné d'empoisonner les malades, et il ne connaît presque rien d'autre. Son entraînement est bien limité et spécialisé.
Quand le médecin se vante de son grand savoir scientifique, il a en vérité moins de connaissances valables pour soigner les malades que ces derniers eux-mêmes.
Selon le docteur Clarke Fraser de l'Université de Magill à Montréal : "Les médicaments ne doivent être utilisés que s'ils sont nécessaires".
Or, cela est encore un mensonge, car les médicaments ne sont jamais nécessaires.
La médecine est le plus grand ennemi de l'intégrité humaine dans la vie moderne.
« Seul une personne stupide ou mal informée ira prétendre que la médecine a conféré de grands bienfaits à l'humanité »
Traduit et présenté de DR SHELTON'S HYGIENIC REVIEW, vol 24, n°4, par A. M..
CONCLUSION
.... blog en amélioration.... à suivre ....
par Viny Eden mon e-mail soleilpourtous@hotmail.com
quelques uns de mes BLOGS…
dwanrg. blogspot.com vinyeden.blogspot.com
connurrencepourdiviseretvolerlespays. Blogspot.com
soleilpourtous. blogspot.com
cielpourtous. blogspot.com
paradis1viny. blogspot.com
p. s.
LIBERTÉ d’EXPRESSION DE CHACUN
Déclaration Universelle des Droits de l'Homme:
Article 19: "Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit."
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