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jeudi 24 décembre 2009

HONTE SUR LES SOLDATS


Ne perdez jamais de l'esprit ceci:

''LES GUERRES C'EST POUR DÉPEUPLER''

et non pas pour combattre contre un prétendu envahisseur ou ennemi

(fabriqué par les classes bourgeoises contre leurs masses crédules et suiveuses ....)

car pour la Monarchie Britannique l'ennemi c'est l'indiscipline de tous les peuples,

alors il faut le MATTER en les militarisant et les intimidant.

MENSONGES ET MENSONGES.... Et les Médias manipulés par l'ONU-de-la-Drogue veut nous faire croire que les pays militairement les plus puissants du monde (Londres, USA, G-8) ne peuvent pas venir à bout de l'Afghanistan (25 millions d'habitants en majorité pacifiques et no armés à moins que Londres les arme pour qu'ils s'entretuent)... mon oeil! Ces guerres ''arrangées'' ne sont que de la poudre aux yeux, que de la diversion pour qu'on ne voit pas les évidences, et nos CLOWNS-journalistes en perroquets buvards-bavards participent à cette mascarade élitiste-militaire.

Quand l'empire britannique organisait

la famine et interdisait l'aide aux victimes

Les famines des années 1870 sous la dictature britannique de la cruelle reine Victoria ont tué entre 12 et 29 millions de personnes en Inde. Le parlement britannique fit voter la loi "Anti-contributions charitables" (Anti-Charitable Contributions Act) en 1877 qui interdisait "sous peine de prison, les donations charitables . Alors que des millions mourraient dans les campagnes, le gouvernement impérial - qui avait besoin d'argent pour financer la guerre en Afghanistan - lança une campagne militaire "dans le but de recouvrir les arriérés d'impôts accumulés par les paysans lors de la sécheresse". Les convois militaires protégeaient les charrois de blé et de riz transportés vers les ports, pour être exportés afin d'empêcher que les pauvres s'en accapare. Le zèle impitoyable des criminels collecteurs d'impôts, soutenus par la brutalité de l'armée britannique et des ses auxiliaires, acheva de ruiner ceux qui avaient survécu à la famine. Vous voyez que ce n'est pas d'aujourd'hui que Londres crée des guerres et surtout et aussi en Afghanistan.

Les Pays Arabes furent colonisés par la France et l'Angleterre et leurs appartiennent officieusement et pas officiellement car ils préfèrent tout cacher pour ne pas que l'Humanité se rende compte combien les Britanniques contrôlent tout mais se maintient en divisant tout.

L'Accord de San Remo, en 1920, entérina l’entente franco-britannique, donnant le Liban et la Syrie à la France, tandis que la Grande Bretagne recevait la Jordanie, la Palestine et tout l’Irak, en plus des protectorats déjà acquis (les sept émirats, le Koweït et le Bahraïn)… La France lui ayant cédé Kirkouk en échange d’une participation aux bénéfices pétroliers.

Washington, tout comme Londres, avait vu le parti que l’on pouvait tirer de la division intestine arabe, surtout à partir du problème palestinien et du conflit israélo-arabe.


À LIRE ET RE-LIRE

1955 « Pacte de Bagdad »
Réunion tripartite (Grande Bretagne, Etats-Unis et France)
Londres au début de 1951, crée la tenue d’une conférence militaire américano-britannique à Malte, laquelle fut suivie par une autre à Ankara, avec la participation du gouvernement turc. Le plan adopté avait pour titre : « l’organisation du groupe des pays de la Méditerranée » et la nécessité de combler la brèche laissée dans le mur du « monde libre » par le retrait des forces colonialistes du Liban et de la Syrie.

En 1852, Napoléon III, commandant pour l'Armée Britannique à ce moment, obtint la restitution de douze lieux saints de Palestine à l'Eglise catholique qui les avait perdus en 1808 au profit de l'Eglise orthodoxe. Le climat des années 1870 renoua en partie avec celui qui suivit le Congrès de Vienne : en 1873, une alliance des trois empereurs (Allemagne, Autriche-Hongrie, Russie) ayant pour but de réserver l'équilibre européen semblait rejouer la Sainte-Alliance.

L'Irak redevient ensuite un champ de bataille entre les empires du Moyen-Orient, jusqu'à la conquête britannique en 1918, qui en fait un État souverain sous contrôle anglais.car le 11 mars1917, les troupes britanniques entrent dans Bagdad. À la fin de la guerre, l'Irak ne passe sous administration directe des Britanniques et qui obtiennent ce droit par la Société des Nations le 25 avril 1920 (avec un mandat pour administrer la zone : Conférence de San Remo).

Le Royaume-Uni disposant ainsi d'un contrôle suffisant sur l'Irak, l'accord anglo-irakien du 30juin 1930 remplace le haut-commissaire britannique par un ambassadeur. L'Irak devient alors officiellement indépendant même si la tutelle britannique est encore forte. Le nationalisme arabe.

Les Britanniques y ont toujours conservé des bases militaires: et même durant les attaques des Américains. Les Britanniques y fomentèrent des Coups d'États afin de semer le chaos dans la population pour piller allègrement ses Ressources Naturelles. Le 1er juin 1941, à la suite de leur intervention, les Britanniques reprennent le contrôle de Bagdad et rendent la régence à Nouri Saïd - leur éminence grise.

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L'IMPÉRIALISME Britannique a ce besoin de tout contrôler mondialement: drogues, esclavagismes, assassinats par ses tentacules mafieuses dans tous les pays....

L'Afghanistan est avant tout un pays agricole.
Avant 1776, les Afghans vivaient paisiblement, avant l'arrivée des Britanniques qui voulaient utiliser leurs terres à diverses fins (drogues et ....).
L'Afghanistan était connu pour sa production de fruits. Profitant d'un climat avantageux et ensoleillé au Sud et humide au Nord, l'Afghanistan produit une large gamme de fruits qui va du raisin aux pastèques en passant par les cerises, abricots et melons.Alexandre Burnes, explorateur britannique, décrivait ainsi les fruits afghans : « Kaboul est particulièrement renommé pour ses fruits, qui sont exportés en grand nombre vers l'Inde. Ses vignobles sont si abondants que les grains sont donnés, pendant trois mois de l'année, au bétail. Il y en a de dix sortes différentes (aujourd'hui on dénombre 30 variétés de raisins en Afghanistan). Les habitants de Kaboul font de multiples utilisations des raisins, beaucoup plus que dans d'autres pays. Ils utilisent le jus; et, pendant les repas, ils se servent de poudres de fruits comme condiments. Ils sèchent également beaucoup de raisins, fabriquent beaucoup de sirop. Peshawar (aujourd'hui au Pakistan) est célèbre pour ses poires, Ghazni pour ses prunes, qui sont vendues en Inde sous le nom de « prunes de Boukhara », Kandahar pour ses figues et Kaboul pour ses mûres. » Les fruits afghans sont toujours autant prisés par les pays voisins qui absorbent la quasi totalité de la production. Quant à ses céréales, la région de Badakhshan, à elle seule, est considérée comme le grenier à blé du pays. Le pays est largement autosuffisant si les terres sont correctement employées aux cultures licites. Les problèmes de sécheresse sont essentiellement dus à l'absence d'un système d'irrigation efficace.

Hélas les criminels Britanniques sataniques ont remplacé ces terres fruitières et nourricières pour y cultiver du pavot-à-OPIUM et en faire LE COMMERCE MONDIALE car maintenant il s'y produit plus de 93 % de la production mondiale d'Opium et le tout supervisé militairement par la Couronne Britannique. Donc, comme une grande partie des terres servent à produire du pavot au détriment de la culture de céréales, de fruits et légumes. Cela a pour conséquence une raréfaction de denrées alimentaires sur le marché intérieur et le paradoxe est que l'Afghanistan devient ainsi un importateur de fruits, de céréales et de légumes pour répondre aux besoins intérieurs. En outre ces produits sont chers et les Afghans pâtissent du renchérissement de ces denrées. Depuis la fin de la guerre d'Afghanistan en 2001 et la mise en place d'un nouveau gouvernement, la culture du pavot, qui était déjà diffuse à l’époque des Talibans, a aujourd’hui atteint des niveaux records estimée pour 2006 à
6 100 tonnes, ce qui dépasse largement la demande mondiale et concurrence durement les autres produits de la toxicomanie. Selon le rapport annuel de l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC), publié le 27 août 2007, la production d'opium en Afghanistan a augmenté de 34 % entre 2006 et 2007. D'après les enquêteurs de l'ONUDC, la culture du pavot se développe essentiellement là où la présence des talibans est très importante, dans le sud, soit à 80 % dans quelques provinces le long de la frontière avec le Pakistan.

LONDRES COMMERCE MONDIALEMENT LES DROGUES
AIDÉ DES ARMÉES DE TOUS LES PAYS
Cette criminalisation s'étend désormais à tout le continent américain. En Amérique centrale (Salvador, Honduras, Guatemala), des bandes juvéniles de narcotrafiquants, les Maras, prolifèrent dangereusement. La région compterait entre 70 000 et 200 000 mareros qui dominent des territoires entiers. Au Salvador, plus de 11 000 " soldats" seraient présents dans la " Mara Salvatrucha ". Selon le ministère de la Justice américain, aux États-Unis, les cartels mexicains contrôleraient actuellement le trafic (gros, demi-gros, jusqu'au kilo) de la cocaïne dans 49 États et dans 195 villes des États-Unis. Le principal cartel, " La Federación", contrôle 82 villes des Etats-Unis ; le cartel de Juarez, 44 villes ; celui du Golfe, 43 ; et celui de Tijuana, 20. Bien entendu, ces cartels exportent leurs " guerres " aux États-Unis même, et principalement dans les villes (66 sur 195) qui ne sont pas encore conquises par l'un d'entre eux.

Londrtes par cette drogue fait quelque 100 000 morts par an et accentue la progression du virus du sida, rappelle l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC). Pour les cinquante prochaines années le commerce de l'opium serait la clé pour tenir L'Inde sous COntrôle Démographique militairement acceptable pour Londres ...

Convoité par de nombreuses puissances tant régionales que mondiales, l'Afghanistan fut le seul État asiatique avec le Japon à tenir tête aux puissances coloniales européennes. Son histoire et sa création comme État tampon entre les possessions de l'Angleterre et de la Russie ne se comprend pas sans une analyse géopolitique du Grand Jeu des Puissances, réactivé aujourd'hui dans un contexte de contrôle des routes pétrolières et gazières. Le pays possède d'importants gisements de gaz naturel dont l'exploitation avait commencé il y a plus de 60 ans déjà. Dans les années 1980, les réserves étaient estimées par la Banque mondiale à 140 milliards de m³. Aujourd'hui, les études préliminaires montrent que ces évaluations ont été sous-estimées d’au moins 18 fois, les réserves réelles seraient donc plus près de 2 520 milliards de m³. D'autres experts pensent qu'elles sont encore plus vastes puisque les estimations ne concernaient que le nord et l'ouest or certaines poches ont été découvertes dans le Sud et l'Est. Les réserves de pétrole seraient 90 fois plus grandes que ce que pensaient les Soviétiques dans les années 1980. Aujourd’hui, des compagnies pétrolières comme Unocal, Texaco, BP et Total se sont installés à Kaboul en espérant remporter des appels d’offres du gouvernement.

L'Afghanistan, considéré comme un carrefour de l'Asie centrale, a une histoire mouvementée. À travers les âges, la région, aujourd'hui connue sous le nom « Afghanistan », a été occupée par l'Empire perse, par Alexandre le Grand, Genghis Khan, l'URSS et l'OTAN.

Les Britanniques se sont installés durablement sur le sous-continent indien afin de mieux entourer et contrôler l'Afghanistan.

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LA VRAIE HISTOIRE

ALLIANCE DES BOURGEOIS DIRIGEANTS AFGHANS AVEC LA COURONNE D'ANGLETERRE POUR S'IMPOSER CONTRE LEURS PROPRES POPULATIONS

Shah Shuja

Shuja Shah Durrani (aussi connu comme Shah Shujah, Shoja Shah, Shujah al-Mulk) (4 novembre 1785 - 5 avril, 1842) est le cinquième padishah d'Afghanistan de la dynastie Durrani entre le 13 juillet 1803 et 1809 puis du 8 mai 1839 à sa mort en 1842.

Fils de Timour Shâh, il est gouverneur d'Herat et de Peshawar de 1798 à 1801. Il dépose son demi-frère Mahmud Shah et dirige l'Afghanistan de 1803 à 1809.

Il s'allie avec le Royaume-Uni en 1809 pour empêcher toute tentative d'invasion de l'Inde par Napoléon et la Russie, mais il est alors rapidement renversé par son prédécesseur.

En 1838, il s'allie avec le Royaume-Uni et le Punjab pour envahir l'Afghanistan, contribuant au déclenchement de la première guerre anglo-afghane. Il retrouve son trône en 1839 avec l'aide des Britanniques, trente années après son premier règne mais est assassiné en avril 1842, après leur départ.

Mort suspecte de Timour Shâh et deux siècles d'instabilité. Timour Shâh est finalement assassiné, probablement par empoisonnement le 20 mai 1793. La mort subite de Timour Shâh et l'absence d'héritier au trône clairement désigné plonge l'Afghanistan dans une profonde instabilité qui durera deux siècles et que les britanniques sauront exploiter au détriment des afghans tout au long du XIXe siècle.



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GUERRE DES BRITANNIQUES ET DES BOURGEOIS DU G-8
EN AFGHANISTAN ET LA DROGUE

Sur les dix premiers mois de 2006, la guérilla et les combats ont fait plus de 3 000 morts en Afghanistan alors que la production d'opium a augmenté de 60 % pendant l'année.

Actuellement, l'Afghanistan est dirigé par le président Hamid Karzaï dont la gestion du pays est de plus en plus contestée. Le pays reste sous le contrôle des chefs de guerre mis en place par Londres.

Pourquoi l'ONU laisse-t-il des soldats à pieds et exposés dangereusement aux mines terrestres au lieu d'utiliser des hélicoptères militaires ? Si les terrains sont minés: alors pourquoi risquer la vie de malheureux jeunes soldats et jeunes pères de famille? Vous voyez que cela ne tourne pas rond, posez-vous toujours les bonnes questions sinon ils se riront toujours de vous et continueront de vous dire n'importe quoi du fait que vous ne remettez jamais en question leurs bobards.

GUERRES POUR DÉPEUPLER ET TERRORISER LE MONDE ENTIER AFIN DE NOUS SOUMETTRE À LEUR VOLONTÉ.

COMBIEN D,AFGHANS SONT MORTS ???
Par exemple,
sur les dix premiers mois de 2006, la guérilla et les combats ont fait plus de 3 000 morts en Afghanistan , alors que la production d'opium a augmenté de 60.

On a beaucoup parlé de la " grippe porcine " au Mexique depuis avril 2009, mais est-ce vraiment le problème le plus important de ce pays ? Selon le quotidien mexicain El Universal du 6 mai 2009, " du 1er janvier au 20 avril 2009, 2004 assassinats criminels ont été commis, (soit 18 homicides par jour). Depuis le 21 avril, date de l'alerte sanitaire porcine, jusqu'au 5 mai, on a compté 254 assassinats (17 par jour en moyenne), soit 2 258 morts depuis le 1er janvier ".

Le palmarès de victimes anonymes

L'Afghanistan n'a jamais réalisé un recensement systématique de sa population..... vous voyez encore qu'ils le font par exprès, en 2010 avec notre Technologie, nos milliers d'Organismes, avec l'Informatisation ...... et on veut nous faire croire qu'il existe encore des pays qui ne savent pas combien de gens travaillent ou pas, payent ou pas des taxes ????? Mon oeil. ON SE RIT DE NOUS, les Britanniques méprisent vraiment l'Humanité, ils nous prennent pour des cons tout juste bons à désinformer et à mener en bateaux..... et nous les laissons faire, et nous leurs donnons ainsi raison.
Jusqu’à maintenant, la nationalité des soldats tués ou blessés était rapportée dans la nouvelle. Maintenant, ils font partie d’une statistique plus globale qui les prive, après leur décès de leur identité. Ce ne seront désormais que des chiffres selon une décision rendue par l’Isaf et ce sera au pays d’origine du soldat de transmettre cette information: « L’Isaf, qui comprend des soldats de 40 nations, n'a révélé ni l'identité, ni la nationalité des victimes, elle en laisse systématiquement le soin aux autorités des pays d'origine» (cyberpresse); ainsi, l’on pourra en retarder la divulgation, ce qui permettra de minimiser l’importance de chaque épisode et le tout viendra se perdre dans les colonnes statistiques, ce qui aura pour effet de contribuer à la banalisation de la guerre et ainsi à sa plus grande acceptation par le public. L’indignation n’est plus au rendez-vous ni même la consternation ou la tristesse. Il se présente plutôt un sentiment d’indifférence qui laisse la place aux questions de stratégies sur le terrain et à celles relatives aux conditions qui permettront de «gagner» la guerre avant d’effectuer un retrait dit progressif.

En date du 16 juillet 2007, la situation globale se présentait ainsi: Au moins 832 962 personnes ont été tuées et 1 590 895 ont été blessés en Afghanistan et en Irak. C'est un début de chiffres.

En Afghanistan

Selon le dossier concernant les victimes civiles de Marc W. Herold de l’Université du New Hampshire les bombardements américains ont tué, entre 3 485 et 4 034 civils entre octobre 2001 et juin 2004 (http://pubpages.unh.edu/~mwherold/ ). Selon des données rapportées par Matrix Masters, un total estimé de 1 500 personnes ont été tuées en 2005 dans ce pays (matrixmasters.com). Quelques 600 policiers auraient été tués entre l’élection de Hamid Karzai en décembre 2004 et la mi-mai 2005 (Wikipedia). Selon un rapport d’Human Rights Watch, en 2006, 4 400 Afghans ont été tués dont 1000 civils. De plus, un total de 2 077 insurgés ont péri dans les opérations conduites par les forces de la coalition entre le 1er septembre et le 13 décembre 2006. Pour la même période, les données rapportées par Associated Press basées sur les rapports du gouvernement afghan, de l’OTAN et des représentants de la coalition font état d’un total inférieur à 4 000 morts, la plupart d’entre eux étant des insurgés. Plus de 1 900 personnes avaient été tuées au cours des huit premiers mois de l’année (Wikipedia). En 2007, on estime que 7 100 personnes ont été tuées y compris 926 policiers afghans, 4 478 insurgés, 1 500 civils et 232 soldats étrangers (Wikipedia). «Les Nations Unies ont brossé une évaluation sombre du conflit en Afghanistan, en faisant état du fait que la violence s’est intensifiée considérablement au cours de la dernière année, ce qui a entraîné la mort de plus de 8 000 personnes y compris au moins 1 500 civils» (M. Weaver, 2008) (Afghan conflict monitor).

Selon ces données approximatives il est permis d’avoir un aperçu de l’ampleur du nombre de personnes tuées dans cette guerre, mais elles ne peuvent traduire l’importance des effectifs de population affectés, car il ne s’agit pas d’une simple occupation militaire, mais d’une guerre totale. Nous aurions donc un total estimé entre 20 000 et 25 000 personnes qui ont perdu la vie en Afghanistan entre octobre 2001 et juin 2008.

DÉPEUPLEMENT ET DÉPEUPLEMENT

Les guerres d'occupation de l'Afghanistan et de l'Irak: un bilan horrifiant de portée mondiale.
Depuis l’invasion Britannique et des USA sur l’Irak, de mars 2003 jusqu’à juillet 2006 il y eut

655.000 morts supplémentaires d’Iraquiens (soit 2,5% de la population) par rapport à la période antérieure à l'invasion américaine. Le taux de mortalité était de 5,5 pour mille avant mars 2003 contre 13,3 pour mille désormais...».


L'ANGLETERRE ORCHESTRE faux CONFLITS ET GUERRES POUR QUE LES PAYS NE DONNENT PAS LEURS SURPLUS FINANCIERS À LEURS PAUVRES....
alors l'argent qui pourrait nourrir et offrir une qualité de vie à tous les humains sert à la guerre-peur-meurtre.... c'est horrible! L
es F14 coûte $5000 par heure. Personne ne gagne à faire la guerre sauf peut-être l’industrie militaire et Londres qui conserve ainsi ses privilèges aux dépens d'autrui…». E plus de déstabiliser des populations (réfugiés...)

DÉPEUPLER

Il mourait plus de gens de la drogue que sous les balles et les bombes durant la Guerre du Vietnam.

Au Royaume-Uni par exemple, l’usage de la « coke » a quadruplé en dix ans, tandis que son prix baissait de moitié, signe d'un grave échec répressif. La consommation (connue) de cocaïne a été multipliée par 8 de 1992 à 2004 et les admissions à l’hôpital pour intoxication à la cocaïne, ou surdose, ont augmenté de 400% en 8 ans (1999-2007). Les victimes sont à 85% des hommes, de 29 ans en moyenne. Selon l’enquête du magazine Rolling Stone6, la « Guerre contre la drogue » menée par Washington a coûté 500 milliards $ de 1972 à 2007, pour un résultat quasi-nul.

De plus en plus de gens mondialement consomment des drogues. Le ministre de la Défense de Colombie, pays qui produit 55% de la cocaïne mondiale, met en garde l'Europe : le marché européen de cette drogue a désormais rattrapé celui de l'Amérique du Nord. Selon Europol, la cocaïne importée en Europe est ainsi passée de 50 tonnes en 2002 à 300 tonnes en 2007. La déferlante de cocaïne est telle que l’on peut désormais parler de « tsunami de la drogue » dans l’Europe du Nord-Ouest.

LA COURONNE DE LONDRES VA JUSQU'À ''GELER'' SON PROPRE PEUPLE POUR QUE JAMAIS IL N'INTERVIENNE POUR PACIFIER SES DIRIGEANTS qui ont toujours agis criminellement contre l'Humanité ... et c'est le seul peuple au monde qui pourrait tout changer si les LONDONIENS se décidaient à humaniser leurs dirigeants (quelques 1000 Lords guerriers et 12 5000 Chevaliers de Malte à démilitariser).

CONSTATEZ

Au Royaume-Uni par exemple, l’usage de la « coke » a quadruplé en dix ans, tandis que son prix baissait de moitié, signe d'un grave échec répressif. La consommation (connue) de cocaïne a été multipliée par 8 de 1992 à 2004 et les admissions à l’hôpital pour intoxication à la cocaïne, ou surdose, ont augmenté de 400% en 8 ans (1999-2007). Les victimes sont à 85% des hommes, de 29 ans en moyenne. En Irlande, 3 adolescents sur 5 ont déjà consommé de la cocaïne : c’est cinq fois plus que la moyenne européenne et bien plus qu’aux États-Unis. À Dublin, la cocaïne est si abondante que son prix est désormais tombé à 40 € le gramme, contre ± 70 € sur le continent.



CONTRÔLE DÉMOGRAPHIQUE DE LONDRES, DU CLERGÉ
(et de la Droite Musulmane, de la Droite Chrétienne, de la Droite Judaïse...) SUR L'HUMANITÉ... POUR NE PAS ÉLIMINER LA PAUVRETÉ..... ILS TIENNENT CRIMINELLEMENT À LEURS HIÉRARCHIES, hiérarchies qui n'existent qu'en maintenant la majorité pauvre.

Ainsi, ils
mobilisent des ressources matérielles et humaines considérables pour tuer et détruire, ils créent un climat d’insécurité globale et provoquent, par le fait même, un puissant effet d’entraînement sur le réarmement d’un très grand nombre de pays avec des sommes colossales qui sont désormais engagées dans le processus de militarisation de continents tout entiers comme c’est le cas en Europe orientale et au Moyen Orient.

La campagne GUERRIÈRE de vaccination-polio CONTRE LES ENFANTS AFGHANS

Je vous rappelle que l'Afrique est le pays le plus vacciné et c'est aussi là qu'il y a le plus grand nombre de sidatique dans le monde, plus de 40 % de la population africaine serait porteuse du VIH. LA GUERRE BACTÉRIOLOGIQUE ET VIRALE de Londres contre l'Humanité. Environ 14 000 vaccinateurs, profitant de la pause espérée dans la violence, vaccinent des enfants contre la polio dans les régions du sud, de l'est et de l'ouest du pays - dans le cadre des Journées nationales de vaccination organisées par l'UNICEF, l'OMS et le Ministère de la santé publique. Les districts de Kandahar, Helmand, Uruzgan, Nangahar et Lagman, ainsi que la région à l'ouest de Farah, vont être couverts par cette campagne, qui se déroule du 21 au 23 septembre. « Nous allons laisser passer les équipes de vaccinateurs contre la polio pour qu'elles puissent faire leur travail, » indiquent les talibans dans une déclaration. MON OEIL !

LONDRES CONTRE L' INDE
UNICEF : Deux millions d'enfants meurent chaque année en Inde ... loin devant la Chine, qui ne compte "que" 400 000 enfants morts par an. ... L'Uncicef donne ces chiffres mais l'Unicef en réalité est complice de ce génocide alors que l'Unicef joue à l'Aide Internationale elle effectue à la fois UN CONTRÔLE DÉMOGRAPHIQUE telle est sa véritable mission inavouable.

1 enfant sur 10 meurt avant l’âge de 5 ans en Inde… si cela ce n’est pas du dépeuplement qu’est-ce que c’est ??? De 115 morts pour 1000 enfants de moins de cinq ans en 1990, le taux de mortalité infantile est ainsi passé à 76 pour 1000 en 2006, une baisse de près d'un tiers. Le fossé entre riches et pauvres s'accroît à un rythme inquiétant dans le pays, mettant en danger des millions de mères et d'enfants.






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Mythe n° 1: cette guerre a pour but d'améliorer le sort du peuple afghan. Les Occidentaux ont-ils débarqué en Afghanistan pour défendre les habitants de ce pays contre leur atroce gouvernement taliban? Bien sûr que non. Cela fait déjà près de six ans maintenant, mais ce sont les États-Unis et le Royaume-Uni, seuls, qui ont d'abord attaqué l'Afghanistan, et ce, en réaction aux attentats terroristes du 11 septembre 2001 attentats probablement créés sciemment par Londres et ses pions installés dans tous les Pays. Depuis, la justification officielle de l'invasion a glissé vers l'amélioration du sort des Afghans, tout comme on a rapidement oublié les présumées armes de destruction massive en Irak pour parler de la «libération» du peuple irakien...


Leur mission demeure la «guerre à la terreur». Que ceux qui en doutent expliquent l'absence d'intérêt de la communauté internationale devant le conflit le plus sanglant qu'ait connu l'humanité depuis la Deuxième Guerre mondiale (c'est-à-dire la guerre civile au Congo), l'attentisme devant la tragédie actuellement en cours au Darfour ou encore le soutien occidental à certaines dictatures.

Mythe n° 2: les soldats canadiens sont des héros qui risquent leur vie pour protéger la veuve et l'orphelin

Faire des militaires des héros contribue à justifier la guerre d'Afghanistan.

Deux mythes sur la guerre, de 2001 à aujourd'hui

Frédéric Julien 1 août 2007 Canada
La présente guerre d'Afghanistan divise les Canadiens, non seulement le long du traditionnel clivage gauche-droite mais également au sein même de la gauche. Il s'agit, en apparence, d'un dilemme classique: la fin (la «reconstruction» d'un pays) justifie-t-elle les moyens (les violences guerrières)? C'est à tout le moins en ces termes simplistes que semble trop souvent s'articuler le débat. Retour sur deux des mythes colportés par cette perspective limitée.

Mythe n° 1: cette guerre a pour but d'améliorer le sort du peuple afghan

Sauf pour le pacifiste absolu, cette proclamation mérite certes considération en ce qui a trait à l'attitude à adopter devant les durs combats qui ont actuellement lieu en Afghanistan. Mais avant même de débattre de la force de cet argument, il est possible de carrément s'interroger sur sa validité. En effet, plutôt que de se demander si le peuple afghan «mérite» le sacrifice du sang canadien, il convient de s'interroger à savoir si le sort des Afghans constitue vraiment l'intérêt premier des forces de l'OTAN, sous l'égide de laquelle le Canada combat.

Donc, les Occidentaux ont-ils débarqué en Afghanistan pour défendre les habitants de ce pays contre leur atroce gouvernement taliban? Bien sûr que non. Cela fait déjà près de six ans maintenant, mais ce sont les États-Unis et le Royaume-Uni, seuls, qui ont d'abord attaqué l'Afghanistan, et ce, en réaction aux attentats terroristes du 11 septembre 2001. Le gouvernement afghan de l'époque était en effet accusé d'abriter Oussama ben Laden, cerveau présumé de plusieurs attentats terroristes contre des intérêts occidentaux. À la base, la guerre d'Afghanistan était donc une «guerre défensive» visant à neutraliser une organisation terroriste et à venger la mort de quelque 3000 New-Yorkais. On peut appuyer ou non ces objectifs et cette manière de les atteindre. Depuis, la justification officielle de l'invasion a glissé vers l'amélioration du sort des Afghans, tout comme on a rapidement oublié les présumées armes de destruction massive en Irak pour parler de la «libération» du peuple irakien... Il s'agit bien sûr d'une opération de relations publiques de la part des Forces armées canadiennes. Même si celles-ci accomplissent en territoire afghan un travail humanitaire nécessaire, usant par ailleurs pour ce faire d'une approche critiquée, la raison d'être fondamentale de leur mission demeure la «guerre à la terreur». Que ceux qui en doutent expliquent l'absence d'intérêt de la communauté internationale devant le conflit le plus sanglant qu'ait connu l'humanité depuis la Deuxième Guerre mondiale (c'est-à-dire la guerre civile au Congo), l'attentisme devant la tragédie actuellement en cours au Darfour ou encore le soutien occidental à certaines dictatures.

Mythe n° 2: les soldats canadiens sont des héros qui risquent leur vie pour protéger la veuve et l'orphelin

Le corollaire de ce mythe, fréquemment répété, c'est que si on est libre de critiquer la guerre d'Afghanistan, on est en revanche tenu à un devoir de solidarité envers ses exécutants, les simples soldats. Pour l'armée, cette solidarité devrait s'exprimer notamment en s'abstenant de manifester lorsque les soldats défilent ou encore en évitant de «récupérer» la mort au front de Canadiens pour critiquer la mission canadienne. Il y a au moins deux problèmes avec cette vision.

Premièrement, il y a une limite pratique au fait de dissocier les exécutants de la politique qu'ils servent si on souhaite critiquer cette dernière. Il s'agit d'un droit qui ne saurait être remis en cause dans le cadre démocratique canadien actuel. Pour être efficace, une opposition citoyenne se doit d'être visible, de faire du bruit, d'être entendue, et ce, le plus possible. Inévitablement, un soldat lira un texte d'opinion défavorable à sa mission ou apercevra un manifestant avec une pancarte prônant sa démobilisation. En définitive, qu'on le veuille ou non, marquer son opposition à ce conflit entache indirectement ses acteurs; inversement, faire des militaires des héros contribue à justifier la guerre d'Afghanistan. Mettre les militaires sur un piédestal a ainsi mené le premier ministre Stephen Harper à refuser le droit aux «simples civils» de critiquer la politique étrangère du Canada: «Et lorsque le chef de l'opposition sera capable de porter l'uniforme et de servir son pays, alors je tiendrai compte de ses opinions à propos de la performance du ministre de la Défense.» La distinction guerre-soldats, si elle est dans une certaine mesure possible sur le plan conceptuel, devient, on le voit, difficilement tenable dans la pratique.

Deuxièmement, il est permis de relativiser la noblesse des intentions des soldats canadiens de même que leur statut de victimes potentielles de la guerre. On peut affirmer sans grand risque de se tromper que
bien des militaires se sont enrôlés pour d'autres raisons que le fait de participer à la construction d'un monde meilleur.

Il est à noter que les militaires bénéficient d'excellentes conditions de travail, surtout lorsqu'on tient compte de la faible scolarité exigée pour s'enrôler. Sans surprise, les milieux pauvres sont donc surreprésentés au sein des Forces armées canadiennes. Alors qu'elles ne constituent que 7,5 % de la population canadienne, les provinces maritimes ont ainsi fourni 20 % des nouveaux effectifs militaires pour la période de recrutement 2006-07. Une relation similaire entre pauvreté et enrôlement est également observable aux États-Unis, où les soldats issus de la communauté noire représentent une proportion bien plus grande de la population militaire que de la population états-unienne dans son ensemble. Au surplus, les armes, la discipline, l'esprit de corps et les activités dites extrêmes exercent un grand attrait chez de nombreux jeunes hommes (et aussi, quoique plus rarement, chez plusieurs jeunes femmes). Les Forces armées l'ont d'ailleurs bien compris alors qu'elles exhibent fièrement véhicules lourds et armement perfectionné autour de certains lieux de recrutement. Leur slogan, lancé à la suite de la publicité contenant moult images d'intrépides soldats en action, n'est-il pas «Combattez avec les Forces canadiennes» après avoir été «Si la vie vous intéresse»? L'esprit guerrier de certains soldats peut d'ailleurs mener à de graves dérapages.





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DIVERS


1919-2001 : Instabilité chronique

Depuis 1900, onze dirigeants furent déposés :

La dernière période de stabilité en Afghanistan eut lieu entre 1933 et 1973, lorsque le pays était sous la direction du roi Zaher Chah. Néanmoins, en 1973, le beau-frère de Zahir, Sardar Mohammed DaoudDaoud qui, avec l'appui des militaires, renverse son cousin Zaher. Ce dernier abdique en août et s'installe en Italie. entreprit une action non sanglante le 17 juillet 1973. Coup d'État de




RÉCAPITULONS
1918
Occupation britannique, puis mandat en 1920.
1920
La Grande-Bretagne obtient de la Société des nations un mandat sur la Mésopotamie.
Août 1921
Fayçal, fils du chérif Hussein, est couronné roi d'Irak.
1930
Traité d'indépendance avec la Grande-Bretagne.
1932
Indépendance de l'Irak et signature d'un traité d'alliance avec la Grande-Bretagne, qui conserve des bases militaires et la haute main sur les décisions importantes.

1948

Puissantes manifestations contre la signature d'un nouveau traité avec Londres ; participation à la guerre de Palestine.
Septembre 1980
L'Irak envahit l'Iran.
Août 1988
Cessez-le-feu avec l'Iran.
17 janvier 1991
Opération « Tempête du désert ». Les forces coalisées entreprennent des bombardements intensifs sur l'Irak et le Koweït.

3 avril 1991

La résolution 687 du Conseil de sécurité de l'ONU fixe un cessez-le-feu définitif et impose à l'Irak, notamment, l'élimination de toutes ses armes de destruction massive.

14 avril 1995

L'ONU adopte la résolution 986, dite « Pétrole contre nourriture », autorisant Bagdad à procéder à des ventes limitées de pétrole. Bagdad n'acceptera la résolution que l'année suivante.

31 octobre 1998

Signature par le président William Clinton de l'Iraq Liberation Act, qui crée un fonds de soutien de 97 milliards de dollars à l'opposition irakienne. L'Irak décide de rompre totalement la coopération avec l'Unscom.

16 décembre 1998
Début de l'opération « Renard du désert », qui va durer quatre jours.



LE CORAN N'EST PAS UNE RELIGION DE PAIX affirme des musulmans.

Le Coran fut remanié par les Britanniques après leurs victoires des 2 Guerres Mondiales sur les pays arabes qui se sont retrouvés officiellement sous LA TUTELLE BRITANNIQUE via la SDN (la Société Des Nations qui est devenu aujourd'hui l'ONU).

De plus, il faut savoir que la Palestine aussi est sous TUTELLE DE LA COURONNE D'ANGLETERRE ainsi qu'ISRAEL, le Canada, l'Inde, l'Afrique, ..... et....les Londoniens eux-mêmes et qui sont coincés par des coincé


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La sale guerre oubliée contre les Mau Mau en 1950

Trois livres récents - "Britain's Gulag" par Caroline Elkins, "Histories of the Hanged" par David Anderson, et "Web of Deceit" par Mark Curtis - racontent comment, dans les années 1950, les colons blancs et les troupes britanniques écrasèrent la révolte des Mau Mau au Kenya.

Chassés des meilleures terres agricoles et privés de droits politiques, les membres de l'ethnie Kikuyu tentèrent d'organiser la résistance contre l'arbitraire colonial. Quand des milices armées Kikuyu attaquèrent des fermes de colons blancs, la couronne britannique réagit en déportant près de 400 000 personnes dans des camps de concentration. Dans ces camps, tortures et exécutions étaient quotidiennes.

Afin de "priver les rebelles du soutien de la population", le reste de la population Kikuyu (soit près d'un million de personnes) fut regroupé de force dans des "villages fortifiés" où les conditions sanitaires étaient déplorables. L'ethnie Kikuyu perdit la plus grande partie de ses terres dans l'opération - au profit des propriétés des colons ou d'autres groupes ethniques plus dociles vis à vis de l'administration coloniale.

Dans les camps de concentration, l'armée donna la pleine mesure de la "guerre anti-terroriste", s'inspirant des méthodes de l'armée française en Indochine. Les prisonniers étaient systématiquement torturés afin qu'ils dénoncent les chefs du mouvement.

Les méthodes d'interrogatoire courantes étaient - selon de très nombreux rapports officiels - de "couper les oreilles au rasoir, transpercer les tympans, brûler les yeux avec le bout d'une cigarette allumée, fouetter ou bastonner jusqu'à la mort, verser de la paraffine sur un membre d'un groupe de suspects et le bruler vif afin de faire parler les autres".

Les soldats britanniques s'équipaient de sécateurs afin de couper les testicules ou les doigts des suspects interrogés. On retrouvera ces méthodes dans les années 1970, en Irlande du Nord ainsi que - plus récemment - en Irak.

Très souvent les interrogatoires étaient confiés à des auxiliaires de l'armée, recrutés parmi les colons locaux. Dans un témoignage de l'époque, l'un de ces colons raconte avec enthousiasme comment il a "travaillé un rebelle" : "Quand j'en ai eu fini avec lui, non seulement je lui avais coupé les couilles, mais en plus il n'avait plus d'oreilles et son oeil droit pendait hors de l'orbite".

Le célèbre photographe de guerre Don McCullin, qui participa à la campagne anti-Mau Mau lors de son service militaire, raconte que, lors des patrouilles, les soldats avaient reçu la consigne qu'ils pouvaient librement ouvrir le feu sur n'importe qui, sans sommation, "à condition que la personne en question soit noire" (. . .)

[Dans les mémoires de la mission africaine (Letters from the African Mission - 1930-1960 - SVD), un missionnaire raconte comment les écoliers noirs se rendant à l'école à cette époque étaient pris pour cible par les soldats. "Ils s'amusaient à faire courir les enfants dans les champs et leurs tiraient dessus comme s'ils étaient des perdrix. Une jeune fille a été grièvement blessée et abandonnée sur la route par les soldats. Quand nous nous sommes plaints à l'armée, le commandant nous a répondu qu'il était dans l'incapacité d'identifier les 'mauvais éléments' qui se livraient à ce genre d'actions et nous a recommandé de ne plus laisser sortir les enfants sans une escorte blanche. Or ce n'est pas des actions de mauvais éléments, mais bien un comportement général de notre armée.

Quand aux jeunes filles dans les villages ou dans les champs, elles risquaient à tout moment d'être violentées par les soldats, qui faisaient de véritables razzias nocturnes pour se procurer 'de la chair fraiche'. Un de nos chapelains a essayé de sermonner ces jeunes hommes qui, en Angleterre, n'oseraient pas se comporter ainsi vis à vis de civils innocents. Ils lui ont répondu qu'on n'était pas en Angleterre et qu'il ne s'agissait de que de nègres sauvages qui ne connaissaient pas de sentiments humains".]

Ce ne sont là que deux exemples parmi plus de vingt récits d'atrocités supervisées et organisées par le gouvernement britannique ou par les colons britanniques au cours du XXè siècle : parmi ces massacres, citons par exemple le génocide des Tasmaniens, les punitions collectives contres la population en Malaisie, les bombardements aveugles de villages dans le Sultanat d'Oman, la sale guerre au Nord-Yémen dont 90% des victimes furent des civils, l'évacuation forcée des habitants indigènes de Diego Garcia pour faire place à une base secrète de l'armée U.S. et britannique. . .

http://books.guardian.co.uk/comment/story/0,,1674478,00.html


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